Hello toi,
Ce matin, je suis allée me poser dans mon café préféré à Saly et j’ai succombé pour El Diablo. C’est un beignet au nutella que j’ai baptisé ainsi (et que même la propriétaire Randa appelle désormais Le Diable) parce qu’il est exactement comme le Diable : tentant, seducteur, succulent et TRÈS addictif.
Je n’en avais pas mangé depuis 3 mois et ce matin je me suis laissée tenter. Ma coach a vu ma story et m’a appelée sur le champ pour me dire que j’allais en prendre plein la patate pendant notre prochaine séance. Et puis, j’ai réalisé le chemin que j’ai parcouru pour me libérer de nombreuses addictions, parfois évidentes comme le sucre et parfois moins, comme celle dont on va parler aujourd’hui.
L’insécurité financière est très addictive
uhmmm, uhmmm, tu m’as bien lue. Je me suis rendue compte que j’étais addict à l’insécurité financière pendant mon burn out en 2018.
À cette époque, je vivais dans un cycle incessant de hauts et de bas. L’adrénaline du "dernier moment", la créativité qui surgit quand je suis à bout, les idées de génie qui naissent dans l’urgence… c’était grisant, presque envoûtant.
Mais ce que je ne voyais pas, c’est que cette dynamique me détruisait à petit feu. J’étais brillante… et épuisée. Inspirée… mais vidée. Présente pour tout le monde sauf pour mon corps, ma santé, ma paix.
Un jour, j’ai regardé mes enfants et je me suis dit : ce cycle, je dois le casser. Pour eux. Pour moi.
Mais avant de pouvoir le briser, j’ai dû aller chercher en moi :
Pourquoi est-ce que j’aimais autant me mettre en danger ?
Est-ce que je ne méritais la lumière que dans le chaos ?
Et surtout… d’où ça vient ?
Les racines profondes : ce que j’ai observé chez mes clientes… et en moi
En travaillant avec des centaines de femmes, j’ai reconnu les mêmes patterns : des femmes puissantes, créatives, visionnaires, mais qui n’arrivaient pas à rester dans la stabilité. Pourquoi ? Parce que, souvent, on leur a appris – très tôt – que pour mériter, il fallait souffrir. Que la paix était suspecte. Que l’argent, c’était pour les autres. Et qu’une femme forte doit se battre pour tout.
Là où il pourrait y avoir de la fluidité, il y a donc des montagnes russes. Parce que le vide intérieur est devenu familier. Parce qu’on confond intensité et puissance. Parce qu’on a oublié qu’on pouvait créer dans la joie… et non dans la douleur.
Le poids des ancêtres : quand ce n’est pas à toi que ça appartient
Et puis j’ai découvert autre chose. Certaines de ces croyances ne m’appartenaient même pas.
Elles venaient de mes lignées.
Des femmes – et des hommes – qui avaient connu la pauvreté, l’exil, les humiliations, les dettes, les sacrifices. Des ancêtres qui ont dû survivre sans jamais se poser.
Par exemple, j’ai appris que mon ethnie, les Libinza, avaient perdu leurs terres pendant des guerres incessantes avec des tribus voisines et avaient du se réfugier dans les marécages pour résister à l’oppresseur. Quelle ingéniosité!!! Mais à quel prix??? Les fondations mêmes du village n’étaient pas stables. Mes ancêtres jusqu’à même mon père, ont vécu les pieds dans l’eau vaseuse !
Et ces mémoires, je les portais dans mon sang, dans mes cellules, dans mes peurs les plus profondes.
Il a fallu les écouter. Les reconnaître. Les honorer.
Et leur dire : je choisis de vivre une autre histoire.
Comment j’en suis sortie : une guérison énergétique en profondeur
Ce n’est pas grâce à une énième stratégie budgétaire que j’ai guéri. C’est grâce aux soins énergétiques.
J’ai utilisé les outils que j’enseigne aujourd’hui :
la reprogrammation du subconscient,
les soins de régression aux instants-clés de mes traumas,
le comblement du vide énergétique par l’amour, la sécurité, la présence.
J’ai appris à ne plus créer sous tension.
J’ai reconfiguré mon système nerveux pour qu’il reconnaisse la paix comme un espace fertile, et non comme une alerte rouge.
Aujourd’hui, je peux te le dire : on peut créer, vibrer, être magnétique… sans être en survie.
Ce que j’ai réussi à transformer depuis 2019
J’ai entrepris ce travail en 2019, et en 6 ans, ma réalité financière a radicalement changé.
J’ai appris à économiser. À ne plus vivre dans le rouge.
À anticiper, à stabiliser, à construire sur du solide.
En 6 ans, je ne suis tombée à 0 que deux fois – et uniquement à cause de circonstances extérieures, indépendantes de ma volonté.
Mais même là, je n’ai pas paniqué.
J’ai mobilisé mes ressources internes, spirituelles, énergétiques, émotionnelles… et je me suis relevée sans m’effondrer.
C’est ça, la vraie abondance.
Ce n’est pas juste un chiffre sur un compte.
C’est une vibration. Une posture. Une souveraineté.
Pourquoi vouloir en sortir ?
Soyons claires : tout le monde n’est pas obligé de briser ce cycle.
Certaines âmes ont choisi l’instabilité comme terrain d’évolution. Et c’est ok.
Mais si tu en as MARRE de recommencer à 0.
Si ton corps dit STOP.
Si tu veux apprendre à créer dans la fluidité, la constance, le plaisir…
Alors il est temps.
Il existe un autre chemin.
Un chemin où tu es magnétique, créative, inspirée… sans chaos.
Un chemin où tu peux recevoir sans tout donner, bâtir sans t’épuiser, et exister sans te sacrifier.
C’est exactement ce que je t’enseigne dans le Challenge Abondance.
6 jours de soins énergétiques, méditations, coachings vibratoires.
On libère. On aligne. On ouvre les canaux de réception.
La remise de lancement prend fin ce soir à minuit.
Après, le tarif augmente. Et franchement… pourquoi attendre de toucher le fond pour décider de changer ?
Inscris-toi ici maintenant
https://www.maisonclarisse.com/abondancechallenge2025
Si tu as la moindre question, n’hésite pas à me laisser un message sur whatsapp. Je me ferais un plaisir de t’y répondre.
Et toi ? Est-ce que tu es addict à l’insécurité financière ?
Je t’ai posé cette question sur Instagram ce matin.
Dis-moi ce qui te parle, ce que tu ressens. Tu peux répondre à cet e-mail, je lis tous vos messages.
Tu peux aussi choisir une de ces réponses pour toi-même :
Oui c’est moi
Non pas du tout
Je ne sais pas, dis-m’en plus…
Ce n’est pas une honte.
C’est une clé.
Et tu n’as pas à marcher seule avec ça.
Much love
Clarisse Ayisha
P.S. Si tu veux offrir ce chemin à une amie, une sœur, une collègue… transmets-lui ce mail. Parce qu’on n’est pas obligée de traverser la guérison seule.